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Un pommier est planté au milieu de la scène. Une femme étendue sur le côté se réveille et se déplace comme cherchant un but à son existence. Un homme la rejoint et tous deux cueillent l’unique pomme accrochée et la croquent à pleines dents. L’on comprend qu’il s’agit d’Adam et Eve cueillant le fruit défendu. Dès lors, tout s’enchaine. D’autres comédiens investissent la scène et semblent comme guidés par leurs plus vils instincts. Haine, envie, jalousie. Les voilà qui pleurent, se chamaillent, tandis que toutes sortes de déchets envahissent l’espace scénique. Pire, ils bâtissent une énorme idole, une statue en or et contemplent un ouvrage qu’ils pensent grandiose. Tandis qu’une fumée dense masque la scène. Détail important, les protagonistes n’ont de cesse, tout au long de la représentation, de revenir sur leurs pas.
Le rideau tombe… suivi d’un long moment de silence.
Une femme s’avance et parle en anglais. « Il n’est pas trop tard, nous pouvons encore réparer nos erreurs. Nous pouvons panser les plaies… » Clame-t-elle. Le rideau s’ouvre à nouveau et l’on découvre que tout ce qui s’est déroulé sous nos yeux a été filmé et sera projeté, mais en arrière plan. Le public en reste bouche bée. Comme par magie, l’on suit tout le cheminement mais en arrière et légèrement en accéléré et la pomme retrouve sa place sur l’arbre. Comme si rien ne s’était produit.
Conçu par la compagnie de théâtre belge Ontroerend Goed, « Are we not drawn onward to new erA » ( Ne sommes-nous pas attirés par la nouvelle erA) est une réponse très intelligente et créative à l'état de l'humanité tel que nous le connaissons. Certains pensent que l'humanité va de l'avant, d'autres pensent l'inverse. Certains craignent que la fin soit proche, d'autres les qualifient alors d’alarmistes. Mais en fin de compte, cette diversité d’opinions, d’ethnies et de destins participent à son mystère est une bénédiction et il convient de faire la guerre à la guerre.
Situé entre l’art visuel et le théâtre, la poésie et la politique, voilà un spectacle engagé que l’on n’est pas prêt d’oublier de sitôt. Le metteur en scène s’est joué de nous et on en redemande car la pièce est visuellement bluffante A ce titre la première partie est nécessaire pour faciliter le coup de théâtre magistral. C’est alors que le spectacle se révèle comme une affirmation claire et miraculeuse de notre risque de détruire nous-mêmes et notre monde. Effectivement, il n’est pas trop tard, nous pouvons encore changer les choses.
C’est devant une salle comble malgré les pluies qui se sont abattues sur la capitale Tunis, que « Arousset El Bazar» de Dalila Meftahi a été présentée lundi 09 décembre 2019 à la salle le Mondial à Tunis. L’engouement pour l’artiste et son théâtre a été exprimé par un déluge d’applaudissement plus accru encore à la fin de la représentation. Le public plutôt averti a été conquis par la qualité d’un jeu et d’une thématique résolument engagée en faveur des droits de la femme qui, sur scène , se joue d’un mélange des genres entre comique et tragique pour nous concocter une œuvre qui plait et qui donne à réfléchir.
Une estrade en forme de carré plongée dans l’obscurité fait office de décor.
Trois comédiens, deux hommes et une femme y prennent place. Tels des sumos, ils ne quitteront pas ou alors très rarement cet espace délimité.
« Chandala, L’impur » signée par le franco-indien Koumarane Valavane le 9 décembre 2019 au Théâtre municipal de Tunis, est une adaptation de la tragédie shakespearienne Roméo et Juliette dans une fusion extraordinaire de style, de sonorités et de couleurs.
En entame de la compétition officielle de la 21ème édition des Journées Théâtrales de Carthage 2019, la pièce « Cicatrice », écrite par Hatem Jawhar, mise en scène par Ghazi Zaghbani et produite par « L’Artisto », a été présentée l dimanche 8 décembre au 4ème Art.
Une pièce qui ébranle. « Les espaces d’Ismail » la représentation irakienne donnée, samedi 08 décembre 2019, sur les planches du Rio, dérange car bouscule le confort intellectuel de certains, change du moins, notre manière de concevoir l’espace réel et celui imaginé.
La pièce présentée dimanche 8 décembre à l’espace El Teatro par « Imago Théâtre Production » est adaptée de l’œuvre d’Eugène Ionesco, « Délire à deux », par Amir Ayouni qui en est aussi le metteur en scène et incarnant le rôle principal aux côtés de Faten Khmiri et Ramzi Ben Rayana, Dj pour la circonstance.