Cette année, l’évènement avait retrouvé toute son envergure et a permis de découvrir la diversité des films réalisés par les talents confirmés ou émergents du continent africain dans les sections PANORAMA, FOCUS BÉNIN, la RÉTROSPECTIVE, consacrée à Moussa Sène Absa, ou encore la CARTE BLANCHE donnée à l’association Base-Court.
Les nouveautés, le CINE-CONCERT et le CINE-SLAM ont attiré un public résolument plus jeune et plus diversifié. Les DJ SETS ont ensuite résonné en fin de soirée à Montbenon.
L’ouverture de cette 16e édition a lieu mercredi 17 août, avec la projection du film MADAME BROUETTE, en présence du réalisateur Moussa Sène Absa (Sénégal).
Les autres films de ce cinéaste de talent, ÇA TWISTE A POPENGUINE (1993), YOOLE (Le Sacrifice – 2011), TABLEAU FERRAILLE (1995) ont été proposés dans la cadre d’une RÉTROSPECTIVE et ont attiré un important public.
Une TABLE RONDE animée par Alex Moussa Sawadogo, attaché artistique du Festival et Olivier Barlet, journaliste et écrivain, créateur et animateur du site Africultures, a réuni Moussa Sene Absa, Omar El Zohairy, Nantenaina Lova, Aza Kivy, Delphine Yerbanga, É velyne Agli , Khalid Shamis autour de la thématique CRÉER POUR RÉSISTER – RÉSISTER POUR CRÉER. Là encore, le public a été enthousiasmé par la rencontre et les échanges et les questions ont fusé autour des cinéastes africains.
Le Festival est heureux d’annoncer que le public était de retour pour cette 16e, notamment dans les salles de projection qui ont enregistré la même fréquentation qu'en 2019. De plus, la présence des plus de 25 invité·e·s du continent a été fortement appréciée par les participant·e·s.
La 17e édition du Festival cinémas d'Afrique - Lausanne se tiendra du 17 au 20 août 2